Augmentation des budgets et de la croissance: les priorités des CIO suisses évoluent

Communiqué de presse

Augmentation des budgets et de la croissance: les priorités des CIO suisses évoluent

Deloitte publie sa deuxième étude sur les CIO suisses

Les priorités des CIO en Suisse changent : 32 % d’entre eux font état de budgets informatiques en hausse, 44 % indiquent que leur société a adopté l’année passée des logiciels en tant que services et 42 % s’attendent à une augmentation de l’externalisation des prestations (outsourcing) au cours des trois prochaines années. Ces résultats sont tirés de la deuxième étude de Deloitte sur les CIO suisses.

La deuxième étude de Deloitte sur les CIO indique que les priorités de ces derniers ont évolué, passant d’une position défensive à une orientation axée sur la croissance. La priorité numéro 1 en 2014 est de « répondre aux besoins de l’entreprise » ; cela représente un changement radical en comparaison de leur volonté de « maintenir les opérations informatiques », qui était leur priorité en 2013. En outre, plus de 50 % des CIO attribuent cette année une priorité élevée aux stratégies dans le secteur du numérique.

Michael MacNicholas, directeur Consulting de Deloitte, explique : « Les priorités des CIO suisses ne sont plus de “simplement” gérer les affaires courantes et de maintenir leur entreprise à flot. Seuls 28 % d’entre eux considèrent la réduction des coûts comme une priorité élevée en 2014, contre 60 % en 2013. De surcroît, les budgets informatiques présentent des signes d’amélioration : 32 % des personnes interrogées font état de budgets en hausse et aucune d’entre elles n’a signalé une baisse spectaculaire des budgets. Cet assouplissement manifeste des dépenses informatiques est cohérent avec l’environnement économique général. »

Les logiciels en tant que services se sont généralisés

Auparavant perçus comme une technologie marginale, les logiciels en tant que services (SaaS : Software as a Service) se sont généralisés en Suisse. Si, l’année dernière, seuls 16 % des CIO ont indiqué avoir adopté ou déployé des logiciels en tant que services, cette année, ce chiffre est de 44 %. Cependant, les entreprises ont pris du retard dans l’adoption d’autres éléments de la technologie « cloud », comme l’explique Michael MacNicholas : « Les technologies “cloud” publiques sont adoptées bien plus largement à l’extérieur de la Suisse ; 69 % des CIO suisses ont le sentiment que les préoccupations relatives à la confidentialité des données constituent le principal facteur entravant une utilisation plus large de la technologie “cloud”. »

Externalisation – changement de fournisseur attendu

Selon l’enquête, 42 % des CIO envisagent une augmentation significative de l’externalisation des opérations (outsourcing) au cours de ces trois prochaines années, et ce, dans trois catégories : les centres de données, les applications informatiques destinées aux utilisateurs finaux/les services d’assistance (service desk) et la maintenance des applications. De nombreux CIO envisagent de changer de fournisseurs externes dans le but de concrétiser cette augmentation.

Les CIO suisses sont heureux au travail

Quelque 80 % des CIO suisses ayant répondu à l’enquête sont satisfaits voire très satisfaits de leur métier. Ils sont optimistes en ce qui concerne l’avenir : 73 % pensent que le rôle des CIO aura gagné en importance dans cinq ans.

L’étude Deloitte auprès des CIO

La deuxième étude de Deloitte auprès des CIO en Suisse a été réalisée de mai à août 2014. Les 55 CIO ayant participé à l’étude sont fortement expérimentés, et leurs départements informatiques représentent plus de 30’000 employés et un budget total de CHF 5 milliards. Les industries manufacturière & minière ainsi que le secteur des biens de consommation représentent chacun 24 % des participants, le secteur des sciences de la vie et des services 20 % chacun, le secteur financier 16 % et le secteur publie 9 %. En parallèle, Deloitte a mené une étude internationale, à laquelle ont répondu 1'000 CIO de plus de 25 pays.

Pour télécharger une copie intégrale du rapport, veuillez cliquer ici.

Deloitte en Suisse

Deloitte compte parmi les principales sociétés suisses fournissant des services professionnels dans les domaines de l’audit, de la fiscalité, du conseil et du corporate finance. Avec plus de 1’300 collaborateurs répartis dans les villes de Bâle, Berne, Genève, Lausanne, Lugano et Zurich (siège), Deloitte propose ses services à des entreprises et des institutions de toutes formes juridiques et de toutes tailles, et opérant dans tous les secteurs d’activité. Deloitte SA est une filiale de Deloitte LLP, qui est la société britannique affiliée de Deloitte Touche Tohmatsu Limited (DTTL). Les sociétés affiliées de DTTL sont représentées dans plus de 150 pays avec environ 200’000 collaborateurs.

Zurich, le 16 octobre 2014 

Note aux rédacteurs

Dans le présent communiqué de presse la désignation Deloitte fait référence à Deloitte SA, une filiale de Deloitte LLP, qui est la société britannique affiliée de Deloitte Touche Tohmatsu Limited (’DTTL’). DTTL est une «UK private company limited by guarantee» (une société à responsabilité limitée de droit britannique), dont les sociétés affiliées constituent des entités juridiques indépendantes et séparées. Pour une description détaillée de la structure juridique de DTTL et de ses sociétés affiliées, veuillez consulter le site www.deloitte.com/ch/about.

Deloitte LLP et ses filiales font partie des leaders dans le domaine de l’audit, de la fiscalité, du conseil et des fusions-acquisitions avec plus de 14 000 collaborateurs de premier plan au Royaume-Uni et en Suisse. Reconnu comme employeur de choix grâce à ses programmes novateurs en matière de ressources humaines, Deloitte LLP recherche l’excellence pour ses clients et ses interlocuteurs.

Deloitte SA est une société d’audit reconnue agréée et surveillée comme société d’audit agréée par l’Autorité fédérale de surveillance en matière de révision (ASR) et par l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA).

L’information contenue dans le présent communiqué est correcte au moment de sa distribution à la presse.

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