Frontières pour les comités d’audit 

Ce premier numéro de la nouvelle série du programme mondial de Deloitte pour les conseils d’administration, Frontières pour les comités d’audit, vise à répondre à la question suivante : « Quelles sont les meilleures pratiques climatiques pour les comités d’audit? »

Le rapport présente les résultats d’un sondage mené auprès de plus de 350 membres de comités d’audit dans 40 pays. Il révèle plusieurs obstacles qui entravent les progrès, chacun d’eux traduisant un sentiment d’incertitude plus répandu dans les conseils d’administration et les entreprises en général, à l’égard du climat et de la durabilité. Le rapport présente aussi des solutions potentielles pour les comités d’audit qui s’efforcent tant bien que mal d’aider leur organisation à faire face aux changements climatiques.

En outre, le document Frontières pour les comités d’audit : s’attaquer aux changements climatiques regroupe les perspectives des spécialistes du climat et du développement durable de Deloitte et une série d’entrevues avec des organismes de réglementation, des investisseurs et des membres de comités d’audit.

Principaux faits saillants

• La plupart des comités d’audit à l’échelle mondiale ne discutent pas régulièrement des changements climatiques; environ la moitié d’entre eux se considèrent comme étant « au fait des questions climatiques », et les autres estiment ne pas être suffisamment outillés pour assumer leurs responsabilités en matière de réglementation climatique.
• 42 % des répondants se disent déçus de la réponse de leur organisation aux changements climatiques qui n’est pas aussi rigoureuse et rapide qu’ils le souhaiteraient, et 65 % affirment que leur entreprise n’a pas de stratégie climatique claire.
  

Ce premier rapport de la série de Deloitte, Frontières pour les comités d’audit, est fondé sur un sondage mené en septembre 2021 dans les Amériques, en Asie-Pacifique, en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. La majorité des répondants (56 %) sont présidents de comités d’audit. La majorité (67 %) des répondants font partie de comités d’audit de sociétés cotées en bourse, tandis que 17 % proviennent de sociétés privées, y compris des entreprises familiales.